Calcutta City
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Calcutta's Universe
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
ETB Pokémon Fable Nébuleuse : où acheter le coffret dresseur ...
Voir le deal

 

 Chapitre 5

Aller en bas 
AuteurMessage
Kavi Hendy
Admin
Kavi Hendy


Nombre de messages : 298
Age : 34
Localisation : Where I don't want
Date d'inscription : 10/12/2008

Chapitre 5 Empty
MessageSujet: Chapitre 5   Chapitre 5 Icon_minitimeJeu 22 Juil - 4:18

Chapitre 5

Premier baiser… et après ?


Ils étaient restés endormis ainsi dans le canapé, Nathalie dans les bras de Hendy. Quand celle-ci se réveilla, Hendy n'était plus là. Il était dans la cuisine à faire la vaisselle, cependant le petit déjeuner attendait déjà la jeune fille sur la table de la salle à manger. Par politesse, elle préféra s'aventurer dans la cuisine.

-Hendy ?
-Oh, bonjour Nathalie, le petit déjeuner est déjà prêt.
-Oui, mais toi ?
-Oh, j'ai déjà pris un café, ça ira, je finis ça et je te rejoins.
-Euh... oui... mais ta mère, elle n'est pas rentrée ?
-Oh, elle est chez sa soeur, donc je pense qu'elle rentrera que dans l'après midi.
-D'accord.

Nathalie resta un moment à observer son ami faire la vaisselle aussi insoucieusement. Elle eut pour petit déjeuner du lait, un croissant ainsi qu'un jus de fruits, il y avait même du miel. Elle patienta puis Hendy la rejoignit enfin.

-Hendy, je voulais te dire pour hier soir...
-Oui ?
-Je sais que tu le désires, mais tu as si peur... alors ne m'en veux pas...
-Moi ? Peur ? De quoi ? Et pourquoi t'en voudrais-je ?

Nathalie s'approcha de lui lentement et le pris dans ses bras, il en fit autant, puis elle dirigea son visage vers celui de Hendy.

-Pour cela, cher ami...

Ses lèvres frôlèrent à peine celles de Hendy, puis elles restèrent collées aux siennes durant un bon chapitre. Après ce baiser statique, Nathalie embrassa pour de bon Hendy, tendrement puis passionnément. Hendy ne comprenait pas ce qui lui arrivait, mais il n'en n'était pas triste bien au contraire. Il se sentait heureux, pour de vrai, sa bien aimée était contre lui, ils s'embrassaient en toute harmonie, tendrement, amoureusement, passionnément. Hendy pût enfin caresser les cheveux de celle qui avait réussi à conquérir son coeur, il la tenait très fortement contre lui, ils continuèrent de s'embrasser dans le canapé en s'asseyant, puis en s'allongeant, mais aucun des deux n'avait l'intention d'aller plus loin que ce magnifique baiser qu'ils s'échangeaient. Puis lorsque qu'ils s'arrêtèrent, ils restèrent allongés l'un près de l'autre, les yeux fermés, en paix.

-Nathalie... maintenant que je me sens enfin en sécurité auprès de toi, je peux enfin tout te dire...
-Vas-y, dis-moi tout.
-J'ai commencé à t'aimer lorsque nous avons écouté de la musique ensemble... si j'ai fuit, c'est que la personne que je tenais dans mes bras dans ce rêve c'était toi... mais comme tu étais ma meilleure amie et que je te respectais, je me sentais honteux d'avoir pu avoir de telles pensées ou même t'en parler.
-Il en est de même pour moi, peut être même avant... tu étais si gentil et attentionné... je me souviens maintenant, c'est quand tu m'as fait lire ton devoir... quand je t'ai confirmé que c'était romantique... j'avais l'impression que ces mots m'étaient destinés et j'en étais très étonnée, car cela était impossible puisque c'était pour un devoir seulement...
-Tu en étais pourtant l'inspiration... d'ailleurs, tu as même réalisé ces paroles hier soir... et même ce matin...

Ils se parlaient très doucement, en toute complicité, en toute intimité, un bras tenait Nathalie contre lui, tandis que son autre main ne cessait de caresser les cheveux de Nathalie qui était parfaitement cajolée...

-D'ailleurs Hendy... je dois avouer que je suis heureuse que ce soit moi qui soit dans tes bras... je ne connais aucun garçon aussi doux que toi et qui puisse faire rêver une fille aussi aisément, si tu savais à quel point je me sentais bien d'être dans tes bras et de sentir ta main dans mes cheveux... pardonnes moi de m'exprimer ainsi... mais bien que cela me suffise et que ce baiser m'ait presque envoyé au ciel... même si j'avais été bénie de faire l'amour avec toi, cela aurait été superflu, car tes poèmes et tes baisers sont bien suffisant pour m'exprimer ton amour et ... ta dévotion comme tu le dis toi-même...
-Oui ma chère, tu es ma déesse, je prendrais toujours soin de toi et tu seras la seule à recevoir toute ma dévotion... si je pouvais mourir ainsi je n'aurais nul regret. Je sais que je ne devrais pas parler ainsi, oh toi ma chère Nathalie... mais je veux que tu saches que ton amour seul suffit à me contenter dans cette existence et que rien que de te tenir dans mes bras me donne déjà le sentiment d'être au paradis... si je pouvais rester ainsi toute ma vie, je n'aurais nul regret et je mourrais le sourire aux lèvres...
-Que suis-je heureuse de te voir si souriant... embrasse-moi encore Hendy, oh Hendy, dis-moi oui, embrasse moi... ou alors... laisses moi t'embrasser...
-Non, je t'embrasse, tu m'embrasses, nous nous embrassons...
-Petit malin !

Le couple s'embrassa de nouveau, mais encore plus doucement que le premier baiser qui l'avait déjà été... un sourire unique pour eux deux, une douce passion innocente et sincère... bien qu'ils soient dans une maison, c'était comme si ils étaient au beau milieu d'un champs de fleurs, à leur ombre, protégés par milles papillons, une brise de printemps pour mélodie, et un soleil bien clément caché par de petits nuages... une violoniste passée par là se serait arrêtée et aurait commencée une mélodie de passion inspirée par les deux jeunes amoureux... un poète se serait arrêté et rédigé un long poème de louanges à l'amour voyant un amour si pur s'exprimer au beau milieu des fleurs... des tournesols, marguerites, tulipes et tant d'autres encore... un pianiste passé par là aurait regretté de ne pas avoir son piano auprès de lui pour interpréter une symphonie de Brahms ou encore de Beethoven voire peut être Bach.

-Tu sais Hendy... maintenant que tu as fait ton devoir... saches que j'ai lu quelques uns de tes poèmes... et il est temps pour moi de te faire dévotion aussi...

Elle s'assit et mit la tête de celui-ci sur ses genoux puis elle commença à lui caresser les cheveux tandis que son cher ami fermait les yeux...

-Ce sourire, cette paix que je peux enfin voir sur ton visage... si tu savais à quel point j'avais prié pour te voir enfin ainsi... même quand je n'étais encore qu'une simple amie... voir quelqu'un comme toi aussi sympathique et romantique dans cet état était une véritable blessure scandaleuse et révoltante... maintenant... maintenant que nous avons enfin réussi à passer cette étape... bien qu'elle soit la première... difficile... je pourrais enfin protéger et apaiser ton coeur...
-Je le sais...
-Tais-toi, je sais que tu préfères rester silencieux à m'écouter , ne suis-je pas ta muse pour qui tu écris désormais ? Ceci est mon apophtegme, écris tes vers en silence, je te les chanterai... je te montrerai à quel point une déesse peut bénir son tendre et fidèle dévot...
-Ne le fais-tu pas déjà ?
-Certes, mais ne t'ai-je pas demandé de rester dans un silence amoureux ? Je veux te parler... autant que tu as pu écrire pour moi... car à l'époque... tu disais que la destinataire était une inconnue... mais aujourd'hui, tous ces vers destinés à cette inconnue le sont vers moi désormais, c'est ma volonté.
-Que ta volonté soit faite.
-Alors silence cher dévot, silence... laisses-moi te sourire bien que tes yeux soient fermés, demeures dans mon amour et ne te réveilles pas avant que je ne bénisse tes lèvres...
-Ne serait-ce pas le contraire ?
-Aurais-tu oublié que désormais c'est ma volonté qui doit s'accomplir ? Je n'ai que faire des contes de fées... tu es réellement ici, près de moi, et mes bénédictions sont aussi réelles que tes dévotions et austérités... ma main et ma voix te répugnent donc tant que cela ?
-J'ai le droit de parler maintenant ? Oh Nathalie, cette dernière phrase n'est pas digne de toi... tu sais bien que ta tendresse m'est désirée plus que tout au monde.
-Oui... mais la prochaine fois, attends-moi pour partir plutôt que de me laisser seule sous une couverture... si il le faut, réveilles-moi par un baiser... c'est toi le dévot, n'est-ce pas ? Lui sourit-elle.

Hendy prit alors l'autre main de Nathalie et la mit contre lui puis il se mit à chanter seulement :

-Au nom de l'amour...
-Oui ?
-Je suis en train de penser à ce poème que j'ai écrit... il commence ainsi...

Puis il s'endormit aussi aisément. Décidément, pour nos deux amoureux, c'était réellement un jour de paresse idéal pour un début d'amour... elle s'allongea à côté de lui et prit son torse pour oreiller après avoir mis pour berceuse "One and Only" de Tatsumi Yano.

-Oh toi mon ange... si tu savais à quel point je t'aimais moi aussi... oh Hendy... cher Hendy... je ferai tout pour te garder auprès de ma personne... rien ne nous séparera... je tuerai ces malappris qui te manquent tant de respect si il le faut... tu m'as faite déesse, tout comme Athéna, je serais certes la déesse de l'amour mais aussi ta déesse de la guerre afin de détruire tout ce qui nuira à ton et notre bonheur... le mien est si facile à obtenir alors que le tien est beaucoup plus subtil à acquérir. Telle Durga, je serais l'amante et la mère la plus fidèle mais je serais aussi la Devi vengeresse qui piétinera quiconque osera offenser mon cher et fidèle dévot... dans ce petit rêve, que nous commençons, ton bonheur me suffira amplement... je ne veux pas d'enfants... mais si tu en désire un... je serais prête à t'en donner un... mais l'autre jour... en philosophie tu en as fait le contre-voeu... pourquoi donc ? ne veux tu pas qu'il ou elle soit aimé tel que tu l'es par moi ? Je resterais toujours silencieuse sur ce sujet tant que tu n'en parleras pas... pour le moment, mon règne de déesse commence avec pour programme politique de maintenir ce sourire et cette paix que j'ai tant attendu... ce sourire qui était toujours absent, cette tristesse lancinante qui m'irritait dangereusement... continues de sourire et gardes ma main près de toi cher dévot... je te bénirais quand bien même la mort nous séparait... en tant que déesse... je ressusciterai tel le christ seulement trois secondes après avoir quitté ton monde pour y retourner aussi vite.... ou alors... je continuerais de vivre dans tes poèmes... et si c'était toi qui devait oser me quitter le premier, je te rejoindrais le plus vite ou je te ressusciterai comme une déesse se le doit...

Après une bonne matinée de sommeil conjugal, Hendy se réveilla enfin vers les 10 heures et réveilla Nathalie d'un simple baiser sur la joue.

-Seulement ?
-Parce que tu ne sais pas ce que je te réserve.
-Oh, quoi donc ? Annonces-moi donc la réalisation du rêve dont tu désires.
-Danser un tango avec toi sur la Fugata de Piazzolla.
-Oh, tu sais danser le tango ?
-N'en est-il pas pareil pour toi ?
-A vrai dire... j'ai déjà vu... mais jamais dansé...
-Ma dernière cavalière était ma prof de danse, donc ça remonte... ne t'en fais pas, nous ferons un tango assez simple et lent... cela te convient-il ?
-Qu'il en soit ainsi alors.
-Une danse ? Demanda Hendy en présentant sa main gauche.
-Ma foi oui.
-Maintenant, je mets ma main droite sur ton omoplate gauche tandis que toi tu mets ta main gauche sur mon épaule. Hélas, bien que tu sois une déesse, c'est ton dévot qui devra mener la danse.
-Je n'en vois pas l'inconvénient.
-Très bien, alors recommençons l'introduction, mais avec la musique cette fois-ci.

Ils firent donc ainsi, la différence fût qu'au moment de déposer sa main droite dans la gauche de Hendy, celui-ci s'était permis d'embrasser sa main. Leur danse était en totale harmonie et Nathalie se surprenait à réussir à danser une danse aussi peu aisée que le tango. La surprise fût pour Hendy qui s'aperçut que Nathalie le dansait comme si elle l'avait toujours dansé. En réalité, elle ne faisait qu'imiter celles qu'elle avait vu à la télévision. Mais sa danse a elle était spéciale, rigoureuse, à peine plus lentement ou à peine plus rapidement par moments, puis vint enfin le fameux grand moment d'hésitation qu'est la danse de l'indécis qu'est le tango : s'embrasser en dansant, ou pas ? Ce fût finalement Nathalie qui en pris la décision, déjà habituée à être celle qui débute les repas conviviaux. Plutôt que de diminuer, la pluie s'intensifia, les divers frissons s'enchainaient sans difficultés. L'heure du déjeuner passa, mais le jardinier d'amour ainsi que la tulipe s'en moquèrent avec désinvolture. Nonobstant, il est du devoir du poète de continuer les vers de son poème ainsi qu'il n'est pas interdit au poème de demander plus de mots et moins de ponctuation... Nathalie fit cesser la danse en cessant de bénir les lèvres qui lui étaient dévouées puis posa sa main sur le torse de Hendy et pris un regard insistant et dévotionnel.

-Hendy, cessons, s'il te plait.
-Quelque chose ne va pas Nathalie ?
-Détrompes-toi, je veux juste que tu m'embrasses simplement, le peux tu ?
-T'embrasser simplement en évitant le prétexte de la danse ? C'est une demande qu'un dévot comme moi peut exécuter aisément.

Pourtant, il va falloir ne pas oublier qui était la divinité. Puisqu'elle commençait toujours les repas, c'était toujours elle qui décidait du lieu de celui-ci. La volonté divine fit s'allonger Hendy tandis que le visage de Nathalie procédait à l'ascension qui devait la mener à celui du danseur.

-Oh Hendy, je ne cesse de penser à tes mots... tes mots me hantent... et je veux sentir ta main dans mes cheveux... oh cher dévot, apaises le mal qui s'éprend de moi puis permets-moi de dévaliser ton coeur.
-Comment pourrais-tu voler ce qui t'appartient déjà ?
-Oh tais-toi être aimé... je ne le ferais pas... mais tu comprendras aisément...

Le désir divin pût enfin s'accomplir, allongé sous la divine amoureuse, le dévot tenait fortement la tulipe contre lui tandis que sa main voyageait dans la chevelure divine. Le baiser donné par Nathalie se fit plus passionné que jamais, elle alternait entre embrasser Hendy et déposer milles baisers près de ses lèvres, sur sa joue, dans son cou... au demeurant, Hendy se sentit obligé de revendiquer son autorité de poète et renversa Nathalie dans le canapé afin de mener la danse à son tour. Il laissa quelques traces amoureuses dans son cou qui seront plus tard masquées par un foulard bleu ciel, tout en continuant d'y déposer ses dévotions. Puis il reprit son ouvrage et peint les lèvres de l'amante de milles dévotions pour enchainer sur la tornade d'un baiser amoureux et tendre. La divinité sentait la passion l'envahir encore plus et pressa la tête de son dévot des deux mains ensuite tandis qu'une main restait statique dans son cou, l'autre caressait la crinière de son chevalier servant. Puis quand le couple vit sa faim assouvie, s'endormit à moitié dans ce même martyr de canapé, puis ils se chuchotèrent milles cachoteries...

-Oh Hendy, pourquoi n'y a t-il pas autant de poètes que toi ? T'aimer est si aisé...
-Quant à toi Nathalie, pourquoi es-tu la seule divinité sur cette terre ? Ainsi, il y aurait plus de dévots...
-Insolent, la divinité que je suis se veut égoïste, je veux être la seule à avoir un dévot aussi dévoué que toi...
-Votre égoïsme est aisément pardonnable puisque la miséricorde de votre bénédiction s'est déjà abattue sur mon coeur...
Un klaxon se fit entendre, c'était le père de Hendy.
-Hélas, cher Hendy... je vais devoir rentrer chez moi...
-Tu reviendras, promets-le moi Nathalie, que tu reviendras...
-Pourquoi un tel désespoir dans tes yeux cher Hendy ? Je reviendrais le plus vite possible pour bénir mon poète de dévot.
-Ainsi soit il, que ta volonté soit faite sur cette terre qui nous est si chère dans cette vallée d'amour qui vit de ta tendre bénédiction...
-Je te promets aussi que... mais elle se tut et déposa un léger baiser sur les lèvres de Hendy.
-Même si je l'ignore, je sais que ta promesse s'accomplira, fais bonne route. Ah, et remercies Père de te ramener chez toi.
-Tu ne veux pas le voir ?
-Je veux écrire le plus vite possible les vers qui te sont uniquement destinés, chère Nathalie.

Juste avant qu'elle ne sorte de la maison, Hendy la prit dans ses bras et déposa un ultime silence d'amour dans son cou.

-Prends soin de toi Nathalie.
-Toi aussi, toi aussi, mon cher Hendy...

Hendy regarda la voiture s'enfuir avec Nathalie à l'intérieur et ne pût s'empêcher de laisser échapper un soupir amoureux. Il aurait voulu la raccompagner, mais il aurait fallu affronter le regard moqueur de son père qui aurait aisément deviné les milles dévotions qui avaient eu lieu chez le dévot de poète.

-Hendy... si j'avais su plus tôt... je te l'aurais avoué bien plus tôt... mais en fait... je t'ai aimé dès que tu es arrivé au lycée... mais tu semblais si distant et les autres ne te tenaient pas dans leurs coeurs... alors comment venir à ta personne ? Béni soit le ciel que tu sois venu vers moi, sinon Dieu seul sait ce que j'aurais regretté... je m'en veux de vouloir cela mais, termines vite ton poème cher Hendy que je puisse te parler sur msn... j'aurais voulu rester plus longtemps pour t'embrasser plus longuement... heureusement, nous nous reverrons au lycée et nous nous embrasserons où bon nous plaira, même si nous devions nous faire surprendre... telle Durga, ceux qui oseront médire de notre amour devront affronter mon regard et ma fureur... telle Parvati ou Sita, je demeurais ton amante même durant les cours si tu me l'autorises... j'espère que tu me permettras de m'asseoir à tes côtés pendant le bac blanc...

-Nathalie... comme j'aimerais que tu sois là pour que je puisse te dire que je t'aime... si seulement nous étions libres... je t'aurais embrassé pendant toute l'éternité si je le pouvais... ta peau est si douce et tes cheveux aussi... quant à tes lèvres, oh ciel, si seulement je pouvais ne jamais les quitter... comme j'aimerais rester dans tes bras d'amour... ou alors... endormi ou presque, sentir ta main caresser le sommet de mon visage... il faudra cependant que je m'excuse pour avoir froissé ta robe... si j'avais su que nous viendrions à la maison, je t'aurais demandé d'apporter une robe de rechange pour ne pas offenser celle-ci. Après tout, quelque soit la robe que tu porteras, c'est la Nathalie que tu es que j'embrasserais... j'espère que nous le pourrons au lycée... et finalement... prendras-tu place à mes côtés en cours et durant le bac blanc ?

Alors que l'hiver approche, la chaleur des passions ne s'estompe pas mais s'intensifie. Fleurs et papillons habitent désormais les coeurs. Les mains n'ont plus qu'à se lier et maintenant que déesses et dévots se sont reconnus, que leur réservera l'avenir ?

Revenir en haut Aller en bas
 
Chapitre 5
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Chapitre 3
» Chapitre 1
» Chapitre 4
» Chapitre 2
» Chapitre 5

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Calcutta City :: Writings :: Récits :: As Much As I Love You ( La Joie d'Exister) :: Chapitres-
Sauter vers: